Indéniablement le reflet d'un certain Japon à Paris, le restaurant répondant au nom un tantinet pompeux de "Chakaiseki Akiyoshi" a ouvert en janvier 2023. Il a déjà rassemblé des critiques très positives notamment pour l'accueil par l'okami-san, mais aussi très négatives sur l'addition qui fait sérieusement mal au portefeuille. L'expérience vaut-elle le prix?
La suite de Chakaiseki Akiyoshi, avec mon deuxième déjeuner, cette fois omakasé carte blanche du chef. Détails de tout le menu et mes sincères conclusions.
La première de deux recettes japonaises très simples pour apprécier les légumes de saison et exprimer sa reconnaissance face au printemps. Il n'est pas encore là, dites vous ? Mais si ! Il se montre déjà dans les couleurs du maraicher.
L'équipe de The Spoon of Paris a été invitée par le chef Alan Geaam dans son restaurant éponyme situé dans le XVIème arrondissement à Paris. Avons-nous aimé ? Nous laissons la parole à Chihiro qui le connait depuis longtemps. Récit candide.
À boire
Cette semaine, direction le Pays de Gex, une région dont je suis originaire et qui se situe dans l’Ain, à la frontière avec la Suisse et Genève.
La dégustation propose une vingtaine de sakés de huit brasseries différentes. Une sélection de petits plats salés et sucrés réalisés par l'équipe du restaurant permet non seulement de se rafraîchir la bouche très agréablement entre deux sakés, mais aussi de donner son avis sur les accords les plus réussis.
Un viognier, un pinot noir et un syrah. Retour sur trois vins au verre dans un accord mets-vins où se mêlent la France, l'Australie et un peu du Vietnam.
Le coin des amis
Des gourmets amis, ni cuisiniers, ni journalistes. Libres de dire ce qu'ils veulent, sur ce qu'ils veulent, tant que ça se mange.
EN cuisine
Indéniablement le reflet d'un certain Japon à Paris, le restaurant répondant au nom un tantinet pompeux de "Chakaiseki Akiyoshi" a ouvert en janvier 2023. Il a déjà rassemblé des critiques très positives notamment pour l'accueil par l'okami-san, mais aussi très négatives sur l'addition qui fait sérieusement mal au portefeuille. L'expérience vaut-elle le prix?
La suite de Chakaiseki Akiyoshi, avec mon deuxième déjeuner, cette fois omakasé carte blanche du chef. Détails de tout le menu et mes sincères conclusions.
L'équipe de The Spoon of Paris a été invitée par le chef Alan Geaam dans son restaurant éponyme situé dans le XVIème arrondissement à Paris. Avons-nous aimé ? Nous laissons la parole à Chihiro qui le connait depuis longtemps. Récit candide.
Lorsque le prochain plat est arrivé, il y eut une sorte de soulagement. Enfin ! Le chef a travaillé ce wagyu de Joshu de façon plus "traditionnelle"... comme un "steak". Le gras intense du wagyu demande à être salé, plus qu'un bœuf lambda. Cela le "dégraisse" un peu, ou rend la graisse plus "digeste" en bouche. Est-ce parce que nous sommes habitués à la graisse bien salée, comme dans la charcuterie ? Ou est-ce un caractère inhérent à toutes les viandes grasses ? Un magret de canard, par exemple, supporterait-il de ne pas être salé ?
Le wagyu, tout le monde le sait, est CHER. Il fut un temps, il fallait débourser 240€/kg et ce, en achetant obligatoirement la demi-bête qui rentrait en France via Monaco. C'était il y a déjà presque 20 ans et depuis, son prix a radicalement baissé et on le voit une ou deux fois l'an, sur les grandes tables françaises - mais toujours sur le banc des remplaçants. Comme disent beaucoup de chefs français, c'est un produit qui les intéresse mais qui est extrêmement difficile à travailler et auxquels ils ont rarement envie de se mesurer, sauf lors d'évènements promotionnels comme celui-ci.
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