La suite de Chakaiseki Akiyoshi, avec mon deuxième déjeuner, cette fois omakasé carte blanche du chef. Détails de tout le menu et mes sincères conclusions.
Aléatoire
Restaurants
Ce plat était le deuxième service - la deuxième partie - du homard, à l’Auberge de Nicolas Flamel. La tête du homard, quand on la retourne, révèle une gelée de consommé de homard, remplie de chair, de brunoise de butternut, de jus de citron.
Tout le monde m'avait dit "tu vas détester" Maison ou Maison Sota... La cuisine du chef japonais Sota Atsumi, feux, flammes et une certaine sérénité.
L'équipe de The Spoon of Paris a été invitée par le chef Alan Geaam dans son restaurant éponyme situé dans le XVIème arrondissement à Paris. Avons-nous aimé ? Nous laissons la parole à Chihiro qui le connait depuis longtemps. Récit candide.
Le wagyu, tout le monde le sait, est CHER. Il fut un temps, il fallait débourser 240€/kg et ce, en achetant obligatoirement la demi-bête qui rentrait en France via Monaco. C'était il y a déjà presque 20 ans et depuis, son prix a radicalement baissé et on le voit une ou deux fois l'an, sur les grandes tables françaises - mais toujours sur le banc des remplaçants. Comme disent beaucoup de chefs français, c'est un produit qui les intéresse mais qui est extrêmement difficile à travailler et auxquels ils ont rarement envie de se mesurer, sauf lors d'évènements promotionnels comme celui-ci.
Un déjeuner dans le bistrot de chef Deux, dans le 11e à Paris. Une cuisine de terroir embellie par les produits frais de qualité et la créativité de la cheffe Tiphaine Mollard.
Lorsque le prochain plat est arrivé, il y eut une sorte de soulagement. Enfin ! Le chef a travaillé ce wagyu de Joshu de façon plus "traditionnelle"... comme un "steak". Le gras intense du wagyu demande à être salé, plus qu'un bœuf lambda. Cela le "dégraisse" un peu, ou rend la graisse plus "digeste" en bouche. Est-ce parce que nous sommes habitués à la graisse bien salée, comme dans la charcuterie ? Ou est-ce un caractère inhérent à toutes les viandes grasses ? Un magret de canard, par exemple, supporterait-il de ne pas être salé ?
Tokyo. Récompensé de deux étoiles au Michelin quelques mois seulement après une ouverture discrète, le chef Hidetoshi Nakamura sert une cuisine limpide, personnelle et profondément respectueuse de la tradition culinaire japonaise. Résurgence de la grande cuisine des années 1970 version 2023.
Créativité, franchise et punkitude. Les desserts aussi originaux que la cuisine du chef Christophe Pelé, par Aurora Storari. Le Clarence.
Le menu de Manon Fleury était inédit pour plusieurs raisons.