Histoire et recette d'abricot-boshi, comme un uméboshi. L'uméboshi est l'abricot du Japon salé, fermenté et séché. Vous l'aurez vu un peu partout dans les bento, sur les tables japonaises, dans l'onigiri.
chihiro masui
L'Orangerie est le deuxième restaurant du Four Seasons Hotel George V, dont le chef Alan Taudon signe la carte. Compte rendu d'un dîner brillant.
Connaissez-vous le wagashi? En un mot, la pâtisserie japonaise. On la dit souvent ennuyeuse et fade. Alors tout un menu de haricots azuki et riz gluant...? Récit d'un pâtissier hors pair, dont on ne peut déguster le menu qu'à Paris. Pas au Japon.
Un déjeuner de très haute volée au restaurant Le Gabriel de La Réserve Paris. Précision, maîtrise, une certaine robustesse et un air résolu de luxe. Le chef, épaulé par Linh Nguyen, en charge de la recherche et du développement, semble avoir trouvé une sérénité apaisée après le tumulte du Covid. On n’attend plus que le Michelin sorte de sa (très) longue torpeur.
S'il n'y a pas de sauces chaudes dans la cuisine japonaise traditionnelle, il y a une multitude de "sauces froides" que l'on appelle "vinaigre" et qui s'apparenteraient plus aux vinaigrettes des cuisines occidentales. L'une des plus versatiles est le "vinaigre de miso" qui se marie avec tout : légumes blanchis, poissons vapeur ou pochés, volailles simplement rôties. Légèrement sucré, agréablement acidulé, il tient son umami du miso.
J'ai la chance d'habiter un quartier central, animé et très vivant, proche de tout. On y trouve une incroyable multitude de restaurants de tous horizons et saveurs. Si beaucoup sont bobo et tendance, ils sont généralement moins mauvais qu'ils n'y paraissent. J'ai toutefois une préférence pour les lieux ni modeux, ni bistro, ni gastro, ni étoilé ni rien du tout, qui servent une cuisine honnête et de bonne facture. Voici le deuxième de mes spots de cœur.
Voici deux façons d'accommoder des légumes qui sont très faciles, ne nécessitant aucune cuisson. Ces légumes sont parfaits pour accompagner un bol de riz, tels des tsukémono. Ils peuvent être préparés en quantités pour être conservés quelques jours au frais, où ils fermenteront gentiment.
Depuis la tendance de la bistronomie tatouée végé, suivie de près par la mode du zinc rétro, on avait l'impression pendant un temps que le resto de quartier ni bistro ni gastro ni étoilé ni rien du tout, était en voie de disparition. Alors qu'en réalité, il se porte plutôt bien. Servant une cuisine honnête et de bonne facture, par les temps qui courent ce sont des adresses précieuses. Voici la première.
Recette familiale par excellence, le porc au gingembre est un plat emblématique de la cuisine populaire que l'on trouve dans toutes les cantines du Japon. Facile à réaliser, peu coûteux, frais, plutôt salé et légèrement piquant, il est délicieux avec un riz blanc bien chaud. Vous pouvez remplacer le porc par du poulet ou du bœuf.
Très à la mode au Japon, loué pour ses vertus gustatives et bénéfiques pour la santé, le kôji est le dernier superfood japonais, encore très peu connu en France. Quelques rares grands chefs (Japonais) commencent à l'utiliser. Qu'est-ce donc ?